Covid 19 Jour 25 du grand confinement (Samedi)

Le samedi qu’on soit actif ou pas, en confinement ou en semaine de travail classique, et bien le rituel c’est d’aller faire les courses tout simplement, de préférence au supermarché, pour éviter de faire « 36 000 » magasins. C’est l’occasion aussi, surtout en cette période, de faire bouger un peu la voiture…

26 degrés, une chaleur presque étouffante à bord, la climatisation fait son devoir.

Comme pour samedi dernier l’ambiance sur le parking était tranquille. Moins d’affluence que les samedis classiques. Un vigile à l’entrée du magasin avec son masque, mais aucune queue, heureusement.

On ne trouve plus aucune farine, très peu de sucre et diantre, plus de levure pour faire les gâteaux. C’est juste scandaleux quand on a tout le temps qu’il faut pour essayer de nouvelles pâtisseries !

Fort heureusement la « pénurie » s’arrête là. Les autres produits sont en quantité raisonnable. Une autre pénurie inattendue : le ticket de caisse. L’hôtesse m’annonce qu’elle n’a plus de rouleaux : ils n’ont pas été livrés… Je connais bien le magasin, je leur fais confiance .

De retour à ma voiture avec mon caddie de courses de première nécessité, j’aperçois à nouveau le vigile à l’entrée qui fait passer les clients au compte-goutte. Quel contraste une heure, une heure et demie avant il n’y avait personne. Maintenant c’est une queue sur toute la longueur du parking qui se déroule. Je suis ravi d’être à contre-courant, j’ai même le temps de refaire la pression des pneus et de dépoussiérer la voiture ! Non, décidément impossible pour moi : m’engager dans ce genre de queue. Il me faudra, si cela se produit, d’enclencher le plan B : Aller voir les petits commerçants tout simplement. (Je l’ai d’ailleurs déjà dit lors d’articles précedents.

Au Supermarché, ce samedi